enfant de Geoffroy et d’Ivré
Branche du Plessis-Chivré
Branche du Plessis-Chivré
Jehan de Chivré naît vers 1260.
Il prend pour épouse Julienne d’Igné, fille de Guillaume d'Igné près Daumeray « par contrat du mercredy après la feste de St Gilles en 1303 » (d'azur à 4 bandes d'or).
« Le lieu d'Igné, ancienne maison noble, avec tour, profonds souterrains et chapelle dédiée à Notre-Dame, était placé sur les confins des paroisses d'Etriché et de Daumeray, dont les processions s'entrecroisaient dans les couloirs du logis. La maison a été récemment démolie. Il n'en reste plus aujourd'hui qu'une ferme. Les Chivré en étaient encore seigneurs au XVIIIème siècle. »[1] .
Jehan et Julienne ont pour fils Guillaume et Philippe :
- Guillaume de Chivré continue la branche du Plessis-Chivré
Jehan de Chivré est condamné par un jugement que rendit le Prevost de Chauny en 1330 en présence des hommes liges du Roy, à reconnaître une redevance dont était charge un héritage qu'il avait situé à Aucervaille dans le direct de l'Abbaye de Nogent[2].
[1] Une famille de seigneurs calvinistes du Haut-Anjou : Les Chivré – André Joubert – p.5
[2] Archives de l'abbaye de Nogent
Proches de Jehan de Chivré
- Philippe de Chivré, chevalier (-) x ? GP
- d'Ivré (-) x Geoffroy de Chivré, escuyer Sire de Chivré et d'Ivré ... P
Proches de Julienne d'Igné
- Guillaume d'Igné (-) x ? P
GP : grands-parents - P : parents - E : enfants - OT : oncles et tantes - CG : cousins germains - C : cousins - N : neveux et nièces