fille de Alexandre et Judith Clausse de Fleury Marchaumont
Elle prend pour époux Pierre de Royrand seigneur d’Aubigné (de gueules à une tête de vache d’or et trois étoiles d’argent rangées en chef).
Judith de Chivré sans doute l’aînée naît vers 1602. Elle sera suivie de Charles, Marie, un autre Charles et Françoise.
Elle prend pour époux Pierre de Royrand seigneur d’Aubigné (de gueules à une tête de vache d’or et trois étoiles d’argent rangées en chef).
En 1657, « Judith de Chivré, femme séparée de corps et de biens d’avec son mari, Pierre de Rouefrand, chevalier, seigneur d’Aubigné, dame de la terre et seigneurie de la Chevallerie et de la métairie de la Fautrardière, en Châtelain » est impliquée dans une procédure contre René Saulou[1].
Le 5 août 1669 Louis de Bailleul, marquis de Château-Gontier rend un aveu ainsi libellé : « Dame Judith de Chivré est ma femme de foy lige pour raison de trois quartiers de vigne scittuez au clos du hault Rougé et pour son fief de Rougé en la paroisse de Chastellain et m’en doibt trois sols de service. »[2].
Judith de Chivré, veuve de Pierre de Royrand, est inhumée le 25 septembre 1669 à Paris, paroisse Saint Sulpice[3].
[1] Inventaire sommaire des archives de la Mayenne avant 1790 - V.2 p.18 – B.2317
[2] Bulletin de la Commission historique et archéologique de la Mayenne - 1899 - V.15 p.284 - gallica.bnf.fr
[3] Bibliothèque nationale de France, Département des manuscrits, Français, Ms 32594